La sonnette virtuelle.
Il était une fois la construction d’une maison…
Voici là petite histoire qui va vous révèler comment m’est venu ce concept de sonnette dématérialisée.
En 2013, je construit ma maison DIY.
Viennent alors plein de démarches et de travaux à accomplir. J’en délaisse la problématique de la sonnette.
A vrai dire à cette époque et au vu du fait que je suis en train de réaliser une maison entièrement connectée, je me dis que je mettrai un portier vidéo IP plus tard.
Ainsi s’enchaînent les mois (pour ne pas dire les années) où le facteur me dépose systematiquement mes recommandés dans la boîte aux lettres et je rate certaines personnes qui auraient aimé sonner chez moi.
Je me pose alors la question de mettre une sonnette temporaire, cependant cela nécessite de faire des travaux et donc du temps que je n’ai pas.
J’investigue alors au niveau des sonnettes radio mais ma maison est construite à 21 mètres de la grille et donc la portée du signal pose problème.
Bref, j’en reste là et je me fais une réflexion:
– les smartphones ont remplacé la chaîne hi fi,
– les smartphones ont remplacé la télévision,
– les smartphones ont remplacé la console de jeu,
– les smartphones ont remplacé les livres, et j’en passe.
Mais… Les smartphones ne se sont encore jamais substitué à la sonnette. Et pourquoi donc ?
Le marché de la sonnette est pourtant bien porteur et on a l’embarras du choix:
– il y a la sonnette simple filaire (bouton poussoir + carillon) aux alentours de 15 euros,
– la sonnette radio aux alentours de 30 euros,
– le portier video aux alentours de 80 euros.
Dans ces trois modèles ce n’est pas tant le prix qui est important mais bel et bien sa mise en place qui nécessite du temps où de l’argent pour celui qui la fait installer.
Et quand bien même, ça ne nous fait plus rêver à l’ère du tout connecté car en cas d’absence c’est comme si la sonnette ne servait à rien.
Pour parer au problématiques d’absence, il existe le portier video IP qui permet de dialoguer (voix et image) avec son interlocuteur que l’on soit chez soi ou à Honolulu.
C’est la solution idéale mais c’est un petit budget et encore une fois ça nécessite un temps de mise en place et des travaux.
Avant de développer un autre constat et de présenter la solution izibell, je me pose une question:
Etes-vous d’accord sur le fait qun de nos jours, il est devenu evident de communiquer notre numéro de pottable au transporteur de la boutique web, le livreur de pizza, le technicien Enedis, etc.
Nous communiquon notre numéro de téléphone car les process de relation client nous le demandent et nous l’imposent car c’est dans notre intérêt également de ne pas rater un rdv.
Il y a donc là la nécessité d’être joignable à coup sûr.
Si nous en sommes arrivés là c’est qu’il y a fort à parier que des gens ont une sonnette qui n’a plus de piles, qui est en panne, ou tout simplement qu’il n’y en a pas.
Ça en est à se demander à quoi sert notre sonnette ? Pourquoi investir autant dans un produit qui finalement sert de moins en moins ?
Vient enfin le constat de chaque jour où quand vous passer dans la rue:
– bon nombre de gens n’ont pas de sonnettes ou cassées.
Une solution gratuite va bientôt voir le jour :
– la sonnette connectée (joignable partout),
– la communication audio video,
– 0 travaux,
– mise en service en 3 clics.
C’est la révolution ! Mais surtout ça va bien me rendre service car le service primaire d’être joignable est opérationnel et incontestable.
J’ai tardé à travailler sur ce projet pour 2 raisons:
– par manque de temps premièrement,
– deuxièmement par ce que la technologie webRTC est un peu jeune et vient tout juste d’être prise en charge sur les smartphones iOS.
Pour finir, izibell peut être un complément de votre sonnette actuelle si la personne n’arrive pas à vous joindre
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